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Véronique Ducharme

Encounters

Dans le cadre du Mois de la Photo à Montréal

Exposition
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©Véronique Ducharme—Encounters—Galerie B-312—Photo : Véronique Ducharme

À l’occasion de sa 13e édition, Le Mois de la Photo à Montréal a invité le réputé commissaire britannique Paul Wombell à articuler sa programmation autour du thème Drone : l’image automatiséeDu 5 septembre au 5 octobre 2013, vingt-cinq expositions déployées sur différents sites transformeront la ville en une vaste exposition de photographie. Ce projet vise à cartographier la relation en constante mutation entre l’appareil photo et le corps humain. 
La Galerie B-312 est heureuse de s'associer à cette 13e édition du Mois de la Photo à Montréal.

Véronique Ducharme est née en 1983 à Montréal, où elle vit et travaille toujours. Elle est titulaire d’une maîtrise ès arts du London College of Communication à Londres (2010) et d’un baccalauréat en arts visuels, avec spécialisation en photographie, de l’Université Concordia à Montréal (2007). Elle a également remporté le Prix Gabor Szilasi de l’Université Concordia en 2007. Ses œuvres ont été exposées à l’A.I.R. Gallery à New York (2013) ; au Fotografiska Museet à Stockholm (2012) ; à la Galerie Les Territoires (2011-2012), au Musée McCord (2008), à la Galerie FOFA (2007) et à La Centrale Galerie Powerhouse (2007) à Montréal ; ainsi qu’au London College of Communication (2010). Son travail a été reproduit dans l’ouvrage collectif Carte Blanche, publié par la Magenta Foundation de Toronto en 2006.

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—VERNISSAGE SAMEDI 07 SEPTEMBRE 2013 À 15H30

Dans le cadre du Mois de la Photo à Montréal
Drone—l’image automatisée
Commissaire : Paul Wombell

Les animaux peuvent‐ils prendre des photos d’eux‐mêmes ? C’est apparemment la question que pose Véronique Ducharme dans Encounters (2012‐2013), où elle adopte un procédé similaire à celui d’Eadweard Muybridge lorsqu’il a utilisé l’appareil photo pour prouver que les quatre pieds d’un cheval au galop perdaient simultanément le contact avec le sol. À la différence de Muybridge, qui a attaché un fil aux appareils pour créer chaque cliché, Ducharme se sert d’un appareil photo utilisé pour la chasse qui se déclenche lorsqu’il détecte un mouvement ou de la chaleur. On pourrait dire qu’il s’agit là d’un type de photographie animalière, où les animaux produisent des images fantomatiques semblant issues d’un autre monde, dépourvu de présence humaine.

Can animals take their own pictures? This is what Véronique Ducharme seems to be asking in Encounters (2012-13). She works in a similar fashion to Eadweard Muybridge, who used the camera to prove that all four feet of a galloping horse are, for a moment, simultaneously off the ground. Unlike Muybridge, who attached thread to cameras to create each exposure, Ducharme employs a hunting camera to detect movement and heat to trigger the exposure. The resulting images might be called wildlife photographs, in which animals exist beyond human control. Their ghostly images could be from another world, one without humans.

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À l’occasion de sa 13e édition, Le Mois de la Photo à Montréal a invité le réputé commissaire britannique Paul Wombell à articuler sa programmation autour du thème Drone : l’image automatiséeDu 5 septembre au 5 octobre 2013, vingt-cinq expositions déployées sur différents sites transformeront la ville en une vaste exposition de photographie. Ce projet vise à cartographier la relation en constante mutation entre l’appareil photo et le corps humain. 
La Galerie B-312 est heureuse de s'associer à cette 13e édition du Mois de la Photo à Montréal.

Véronique Ducharme est née en 1983 à Montréal, où elle vit et travaille toujours. Elle est titulaire d’une maîtrise ès arts du London College of Communication à Londres (2010) et d’un baccalauréat en arts visuels, avec spécialisation en photographie, de l’Université Concordia à Montréal (2007). Elle a également remporté le Prix Gabor Szilasi de l’Université Concordia en 2007. Ses œuvres ont été exposées à l’A.I.R. Gallery à New York (2013) ; au Fotografiska Museet à Stockholm (2012) ; à la Galerie Les Territoires (2011-2012), au Musée McCord (2008), à la Galerie FOFA (2007) et à La Centrale Galerie Powerhouse (2007) à Montréal ; ainsi qu’au London College of Communication (2010). Son travail a été reproduit dans l’ouvrage collectif Carte Blanche, publié par la Magenta Foundation de Toronto en 2006.